A prononcer number 9 dream comme la plage n°7 (esprit de contradiction ...) de l'album Walls and Bridges de John Lennon sorti en 1974.


Le principal intérêt de cet album c'est la période où il intervient, car c'est celui qui reflète le mieux un John Lennon un peu perdu, en plein dans le laps de temps qu'il appellera son fameux lost weekend.

A ce propos une petite parenthèse, sur ce coup-là c'est quand même le roi de l'euphémisme, parce que son weekend il a duré 18 mois tout de même ...
Pour en revenir à Dream number 9 les paroles du refrain (qui sont dans une langue imaginaire) lui sont venues toutes seules, durant un rêve.
Un ange descend lui murmurer ces mots à l'oreille, il se réveille, il les note et bim

Facile la vie quand on s'appelle John, hein ?

Malheureusement pour les fans, ce sera l'avant dernier album de chansons originales qu'ils auront à se mettre sous la dent ; en effet viendront par la suite un album de reprises et une compil en 75 puis le Double Fantasy, que son assassin fera dédicacer quelques heures seulement avant de commettre l'irréparable ...
Monde tordu.

En bonus l'arrière de la pochette alternative, avec une belle grimace